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Les députés belges ont ratifié, mercredi soir, un traité belgo-iranien sur le transfert de condamnés. Défendu par le gouvernement qui l’a présenté comme le seul moyen de faire libérer un travailleur humanitaire belge otage depuis cinq mois à Téhéran, le texte avait déjà été approuvé en commission le 6 juillet.

Est-ce une marche arrière occidentale face à l’Iran ?
La Belgique ou encore son voisin français, cherchent-ils ainsi à trouver une échappatoire aux sanctions ?
Luc Michel, géopoliticien, nous en dit plus.


Le traité, signé le 11 mars dernier, est controversé. Une fois ratifié par les deux parties, le traité ouvrirait la porte à un échange de prisonniers, d’un côté le diplomate iranien Assadolah Assadi, condamné en 2021 en Belgique à 20 ans de prison pour un projet d’attentat en France, et de l’autre, Olivier Vandecasteele, travailleur humanitaire arrêté en février en Iran, et emprisonné dans des conditions très difficiles.

L’opposition iranienne manifeste depuis plusieurs semaines à Bruxelles contre ce texte. Mardi, des actions de protestation ont aussi eu lieu devant les ambassades ou consulats de Belgique à Londres, Berlin, Paris, Stockholm, Vienne, Copenhague, Genève, Amsterdam, Washington, Toronto, Ottawa, Vancouver, Sydney ou encore Melbourne, a-t-elle fait savoir.

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