Communiqué de Presse du PCN- НОП/
2018 09 25/

* L’Opposition extra-parlementaire transnationale :
Parti Communautaire Néoeurasien, PCN,
Neoeurasian Communitarian Party, PCN-NCP,
Неоевразийская Общественная Партия, PCN- НОП,
Neo Avrasyali Komunotarist Partisi, PCN-NAKP,
Partidul Comunitar Neoeurasian, PCN …
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A part peut-être dans l’Italie post Berlusconi, la Roumanie de Basescu ou certains états fantoches issus de l’éclatement du Bloc soviétique, les citoyens des autres pays de l’Union Européenne n’ont aucune idée de l’état avancé de décomposition politique qui règne particulièrement en Belgique.

1/ LA DEMOCRATIE CONFISQUEE

La Belgique est une pseudo démocratie, où le pouvoir a été confisqué par la Particratie.

A quoi servent les élections, dans un système où une poignée de partis au pouvoir depuis des décennies, menés par de véritables dynasties de professionnels de la politique alimentaire (certains en sont à la 4e génération), ont confisqué le Parlement, monopolisent à 100% tous les media et reçoivent des dizaines de millions d’Euros de l’Etat pour leur propagande contre zéro Euros aux formations extra-parlementaires ??? De temps à autre, la particratie, via les médias aux ordres, coopte (où fait émerger) de nouveaux partis qui s’inscrivent, tous sans exception, dans le Système belgicain (en 1985 c’était le FN belge, en 2014 les PP et autres PTB).

Sans parler des trucages du vote électronique, reconnu non valide par tous les observateurs internationaux, de l’absence d’observateurs internationaux organisée légalement, des sondages bidons, de l’action de plusieurs polices politiques, de la création de faux partis d’opposition (comme le fantomatique « FN » belge, créé en 1985 à l’initiative du Ministre de l’intérieur, et disparu sous le flot des scandales et de la corruption), et des interdictions professionnelles qui frappent les ennemis du Système.

A quoi sert de voter pour de faux adversaires, qui, copains et coquins comme cochons, ont déjà décidé de gouverner ensemble ?

On parle parfois de « cirque électoral », ici, au Royaume bananier belgicain, mais il s’agit plus exactement d’un « théâtre électoral ». Où on joue à l’électeur la comédie de la fausse démocratie.

2/ UN REGIME REFUSE PAR LES CITOYENS

Alors que la particratie – engluée depuis trois décennies dans des scandales sans fin – n’a que les mots d’éthique (sic) et de bonne gouvernance (resic) à la bouche, une majorité de citoyens ne croit plus au Système et au régime. Le divorce total entre les citoyens et les professionnels de la politique alimentaires, avides de privilèges et de prébendes, est total.

Elections après élections, les sondages révèlent que la moitié des électeurs du royaume n’irait plus voter si le vote n’était pas obligatoire, confirmant le désaveu du régime belgicain par une population désabusée. On notera que malgré les sanctions pénales prévues et les amendes (le vote est obligatoire sous peine de sanctions pénales), 15 % des électeurs ne vont plus voter à chaque élection et que le « vote blanc », astucieusement non comptabilisé dans les résultats, est très important.

Ainsi que le vote pour des formations républicaines et anti-belges en Flandres (quasi un électeur sur deux).

3/ LA POSITION REPUBLICAINE DU PCN

Partisan d’une République européenne unitaire de Vladivostok à Reykjavik (qui n’a rien à voir avec la fausse ‘Europe’ de l’UE), le PCN, organisation transnationale, a longtemps été indifférent à l’existence de l’état belge monarchique, forme politique dépassée et issue de l’ancien régime.

Mais face à la répression et à la censure totale qui frappe ses activités en Belgique depuis la seconde moitié des années 90 (notamment la prison préventive subie par un de nos cadres à Liège pour un tract électoral de 1994, les persécutions administratives et fiscales de notre Organisation (phénomène unique en Europe) et les persécutions sans fin, tant dans sa vie politique que privée, de notre président), le PCN a été contraint de revoir ses positions.

A la suite de son congrès régional de mai 2000, le PCN a pris désormais position pour la disparition rapide de l’entité belgicaine et l’autodétermination de la Wallonie, de la Flandre et de Bruxelles.

Le PCN appelle donc à la constitution d’un ‘Front républicain’, ouvert au-delà des idéologies à toutes les formations politiques qui luttent pour la disparition de l’état belgicain : les républicains wallons, le mouvement rattachiste pro-français, les républicains flamands.

En particulier, un certain nombre de positions idéologiques séparent le PCN du nationalisme flamand radical. Mais, lorsque nous entendons le mouvement nationaliste républicain flamand proclamer « Belgie barst », nous sommes en total accord politique avec lui.

Les forces du PCN sont actuellement totalement engagées dans la constitution d’une structure transnationale à vocation anti-impérialiste et anti-colonialiste, question qui est bien plus importante que les stériles querelles politiciennes du royaume bananier belgicain. Le PCN se définit donc comme une « Opposition extra-parlementaire transnationale ».

Depuis 2000 – et après avoir eu des représentants au Parlement Wallon, au Parlement de la Communauté française et au Conseil provincial du Hainaut en 1996-99 -, le PCN ne participe donc plus aux élections belges, où, en raison des lois iniques imposées par la particratie belge, les formations alternatives n’ont plus que la possibilité réduite de faire de la figuration.

4/ NOTRE ANALYSE DE LA SITUATION BELGE ET NOS AXES D’ACTION

Le PCN fait donc un choix tactique, qui est de favoriser l’éclatement et la destruction de l’entité belgicaine. L’état belgicain est en effet depuis 5 décennies notre ennemi résolu et n’a jamais ménagé les mesures, notamment policières et judiciaires, pour tenter de nous écraser.

Lors de notre expérience parlementaire de 1996-99, le régime belgicain a particulièrement, et avec l’aide de l’extrême-droite du FN et de ses groupuscules néo-nazis, mené une campagne immonde contre le PCN. Nous ne sommes pas de ceux qui tendent la joue gauche quant on les frappe sur la joue droite !

Par ailleurs, la destruction de l’état belgicain (*) conduira à une situations que le PCN escompte : une période chaotique qui favorisera un Parti radical et républicain comme le nôtre.

5/ NOS CONSIGNES DE VOTE POUR
LES ELECTIONS COMMUNALES BELGES DU 14 OCTOBRE 2014

Le PCN appelle donc à VOTER POUR DES FORMATIONS REPUBLICAINES RADICALES, EN DEHORS DE LEURS PROGRAMMES IDEOLOGIQUES, que nous ne partageons pas :

– Soit pour le RWF (« Rassemblement Wallonie-France ») ou les républicains flamands du « Vlaams Belang ».

– Et surtout pas un vote pour les fausses listes d’opposition créées par le Système, à commencer par le PP, les faux communistes du PTB, ou encore les groupuscules pro-Belgique !

OU S’ABSTENIR DE VOTER, comme s’apprêtent à le faire de nombreux citoyens selon les sondages. L’arme du BOYCOTT DES ELECTIONS étant la sanction radicale de ceux qui veulent montrer qu’ils se refusent à être complice de l’escroquerie électorale organisée ce 14 octobre.

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Le Bureau Politique Transnational du PCN-NCP
& le Secrétariat Régional Wallonie-Bruxelles du PCN.

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(*) L’état fédéral belgicain est le produit d’arrangements politiciens successifs, au caractère peu démocratique, de remodelages incessants de la Constitution – devenue une publication périodique – opérés au gré des accords de majorité depuis le début des années 60. Et sans que jamais – par référendum notamment – la population n’ait été consultée.

L’exemple de Bruxelles, qui est tout à la fois la capitale fédérale, une région fédérale – la région de Bruxelles-Capitale –, la capitale de la Communauté néerlandophone (qui regroupe la région Flamande et la Communauté – culturelle – néerlandophone de Bruxelles) et la capitale de la Région flamande (qui a donc choisi comme capitale une ville hors de son sol, qui constitue une autre région autonome et un autre sujet de droit public, les Flamands se refusant à lâcher Bruxelles, jadis ville flamande). Tout ce bazar institutionnel – qui rend fou tout juriste cartésien – révèle le caractère artificiel de l’état belgicain. Et son caractère non démocratique.

Comme le démontre à nouveau l’exemple bruxellois.

Afin d’assurer la présence au gouvernement de la région de Bruxelles-Capitale des partis flamands minoritaires (moins de 15%), une loi spéciale a été prise. Elle instaure deux collèges électoraux séparés sur base linguistique pour les francophones (partis francophones et autres) et les Néerlandophones (partis flamands) et réserve à chaque collège un nombre fixe de députés régionaux (17 pour les partis flamands). Le gouvernement régional bruxellois doit disposer de la majorité dans CHACUN des collèges électoraux francophone et néerlandophone, les partis flamands contrôlant donc l’exécutif régional et y participant automatiquement au niveau ministériel.
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