PANAFRICOM/ 2020 01 26/
Correspondance de Gitega/

Yves-Lionel Nubwacu,
Conseiller à la Présidence du Burundi :

Hier, dimanche 26 janvier 2020 le parti CNDD-FDD a écrit une nouvelle grande page dans l’histoire démocratique du Burundi. En effet c’est à cette date que le parti de la démocratie a désigné son candidat à la Présidentielle de cette année. Une chose normale me direz-vous pour un parti politique. C’est méconnaitre l’évolution politique et les turbulences qui l’ont accompagné dans notre pays. Certes le parti à désigner son champion pour 2020, le Général Evariste NDAYISHIMIYE, mais chose exceptionnelle ce dernier n’était pas à la tête du pays mais bel et bien Secrétaire General du CNDD-FDD, un challenger pour succéder à Son Excellence Pierre NKURUNZIZA à la tête du pays d’ici aout 2020. Il est donc inutile de vous informer que le Burundi va connaitre sa première alternance démocratique, quel que soit le vainqueur de 2020 le Burundi aura à sa tête un autre visage que celui de Son Excellence Pierre NKURUNZIZA. Un véritable pied de nez à ce qui avaient parlé de velléité dictatorial et même certains, allant plus loin pour parler de génocide. La décision du président Pierre NKURUNZIZA est personnelle et souveraine, elle n’est ni le fruit d’aucune pression quelconque, quel soit interne ou externe, encore moins le fruit d’aucune fatigue ou lassitude de la gestion de la chose publique ; l’homme est dans la force de l’âge et avait mûri en connaissance et en expérience dans le métier. La décision est, comme il l’a dit lui-même le résultat d’une réflexion personnelle, une introspection qui a pris en compte les besoins historiques de notre pays et ses intérêts supérieurs. Comme seuls les Grands hommes d’Etat savent le faire.

Cependant malgré cette ultime preuve de la mentalité démocratique de Pierre NKURUNZIZA, les détracteurs traditionnels ne manquent pas de mots pour essayer de noyer son geste dans une masse de critiques et commentaires acerbes essayant avec beaucoup de maladresse de justifier et faire revivre leur animosité à son encontre que sa décision de ne pas se représenter avait dépouillé de tout son argumentaire. Ces détracteurs sont de deux ordres les uns sont des Burundais qui pour des raisons de nostalgie des anciens régimes vouent Pierre NKURUNZIZA aux gémonies, mercenaires de tout ce qui est susceptible de leur apporte soutient dans le combat sans moral ni fondement qu’ils mènent. La seconde est celle d’un pays, dont le système est aux antipodes du notre et dont l’effet miroir lui pousse à croire que sa sécurité, son rayonnement régionale et internationale dépendent de notre décrépitude en tant que Nation.

Ici je parle du Rwanda, puisqu’il faut le désigner par son nom.
La dégradation de nos relations avec notre voisin du Nord, une situation qui cause un tort incalculable à nos populations respectives, est due à l’immixtion de ce pays dans les affaires internes du Burundi. On ne sait par quel miracle le président KAGAME s’est mué en démocrate et défenseurs des droits de l’homme, mais toujours est-il que, ce Monsieur s’est permis certaines sorties médiatiques intempestives et intolérables sur le Burundi. Si quelques années auparavant, emboitant le pas aux Occidentaux, sans doute dans l’ignorance totale de ce qu’ils-NDRL SARKHOZY ET SES AMIS BRITANIQUES- projetaient de faire en Libye, il avait devant les caméras et micros de la presse de l’OTAN appuyé l’assassinat du Guide MOUAMAR GHADDAFI , sans doute croyait-il récidiver cette fois-ci avec son voisin du Sud et sa trop gênante démocratie. Mal lui en prit car cette aventure s’avèrera trop coûteuse humainement et financièrement pour lui. Une malheureuse confusion stratégique sur les contextes, les hommes et la géopolitique internationale qui avait changé avec le retour de PUTTIN et la renaissance Chinoise. Plus fort encore il a eu en face de lui un homme, Pierre NKURUNZIZA, qui a fait preuve d’un patriotisme sans faille et sans égal.

Parlons de ces Burundais qui s’acharnent sur les changements démocratiques au Burundi. Je l’avais toujours prédit que les détracteurs du Burundi n’en avait rien à cirer des mandats, le troisième pour eux était un prétexte tout trouver pour mettre fin à un système qui avait remplacé celui dont ils avaient en main. Un système qui leur permettait de piller le pays tout en opprimant sans ménagement la majorité d’une population réduite au silence, inculte et amener à devoir se contenter des miettes de la République. Ces Messieurs et dames qui se disaient champions des droits de l’homme et de la démocratie n’ont en réalité que faire de celle-ci. Ils ont prospérer dans les plus pires dictatures qu’a connu le Burundi, c’est la démocratie qui est à l’origine de la ruine de leurs train de vie dispendieux et de leurs avantages indus, alors comment voulez-vous que cette catégorie d’embourgeoisés se transforme en démocrates et défenseurs des de droits d’une population dont ils ont passé plus de 40 ans à opprimer ? Et le plus malheureux dans tout ça c’est qu’une partie de l’opinion Occidentale est tombée dans ce piège, ici je parle d’un certain nombre de député Européens qui sans aucun regard objectif se sont acharnés à voter des sanctions contre un peuple en lutte pour sa survie et sa démocratie. Il est une certitude, le geste posé par Pierre NKURUNZIZA ce 26 janvier 2020 encre définitivement le Burundi dans la démocratie et dans l’alternance au pouvoir.

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