Publié pour la premiée fois en 2005
Dans la revue LA NATION EUROPEENNE-
THE EUROPEAN NATION-LA NAZIONE EUROPEA, #1 (2005)


Le Mémoire de Licence en Histoire (Université de Liège – Wallonie – Année académique 2003-2004) de Jean-Marc Larbanois s’intitule « L’anti-américanisme dans les mouvements dits d’ « extrême-droite », depuis l’élection de Ronald Reagan jusqu’à l’élection de Bush fils ».

Chapeauté par trois doctes professeurs (qui ne comptent guère parmi nos amis) – Raxhon, Balace et Desama –, cette thèse devait initialement porter sur L’ANTI-AMERICANISME DANS LES MOUVEMENTS RADICAUX DE BELGIQUE et comporter un volet « extrême-gauche », notamment sur les anarcho-maoïstes du PTB. La présence du PCN se serait évidemment justifiée dans une telle optique, puisque nous avons influencé et influençons tous les milieux radicaux.
Le sujet remodelé sous un angle plus réducteur, notamment en raison d’une trop grande ampleur initiale et de difficultés dans la recherche des sources, inclut donc un PCN mal à l’aise dans ce cadre étroit, qui n’est de plus pas le sien.

Larbanois en est par ailleurs parfaitement conscient, puisqu’il écrit notamment, rejoignant ici les analyses du CRISP, que « le P.C.N. s’est révélé, lorsque nous l’avons étudié de plus près, n’être pas un mouvement d’extrême droite ».

Il ajoute également, évoquant visiblement le PCN, que « nous nous trouvons devant la même difficulté pour les désignations des courants d’idées que nous avons étudiées. Ces désignations ont comme défauts d’être généralement accolées par leurs adversaires plutôt que d’être revendiquées par ceux qu’elles désignent … il s’agit de termes polémiques dénués de définition précise et donc de caractère scientifique … Nous sommes bien conscients que cela reste imparfait, car certains refuseront, par exemple, d’être enfermés dans l’opposition droite-gauche. C’est pourquoi, dans la mesure du possible, nous emploierons les appellations par lesquelles ces mouvements s’auto désignent ».
Reprenant les analyses de Manuel Abramowicz, avant qu’il ne devienne un des porteurs de valise du gouvernement belgicain, il rappelle que « La propagande politique du P.C.N. est ainsi exempte de tout antisémitisme ». Et il ajoute que « Nous constatons effectivement qu’au cours des dernières années, le P.C.N. s’est fortement affirmé comme un organe de combat antifasciste ».

Le cadre réducteur et inapproprié de cette thèse en ce qui concerne le PCN éclate au grand jour lorsqu’à plusieurs reprises Larbanois évoque L’INFLUENCE DE NOTRE IDEOLOGIE ET DE NOTRE PARTI SUR … L’EXTREME-GAUCHE : « Il s’agit d’un numéro spécial (CONSCIENCE EUROPEENNE n° 11 – l’organe francophone du PCN entre 1984 et 1988), consacré à l’histoire du mouvement « Jeune Europe » et plus particulièrement à son engagement anti-américain. L’article est également intéressant dans la mesure où il tente d’englober les mouvements de guérilla ou de terrorisme rouge dans une sorte de mouvance née dans la postérité de « Jeune Europe » et du P.C.E. (Parti Communautaire Européen). L’existence de liens, surtout en Italie, entre les gens de Thiriart et les maoïstes n’est pas douteuse. Ainsi Renato Curcio, un des chefs historiques des Brigades Rouges, a commencé par militer à « Giovane Europa » ! S’ensuit une étude des thématiques anti-américaines dans les mouvements d’extrême gauche et leur comparaison avec celle de Jeune Europe. Il ressort de cet exercice qu’il s’agit de mêmes thèmes et que l’influence de corpus doctrinal thiriartien est tout à fait probable ».

Larbanois, dans la même optique, évoque NOS CAMPAGNES IDEOLOGIQUES VERS LES MILIEUX COMMUNISTES et leur impact. « Ce numéro 13 (CONSCIENCE EUROPEENNE), est probablement le numéro le plus célèbre de la période Conscience Européenne. C’est aussi l’un de ceux dont ils sont le plus fiers. Intitulé « les communistes de Washington », il est conçu comme un énorme pavé lancé dans la mare. Dans la stratégie d’ « agitprop » du parti, il vise les milieux communistes, essentiellement, P.C.B. et P.T.B., ainsi que les syndicats. Il se veut une analyse de l’évolution des partis communistes européens, qui ont évolué (ou involué) du stade de « parti de Moscou » à celui de « parti crypto-américain ». »

Que le PCN n’ait rien à faire dans le ghetto des obsédés du combat « identitaire » éclate encore au grand jour lorsque Larbanois évoque le n° 18 de CONSCIENCE EUROPEENNE. Dans ce numéro, « il est question de la Turquie et de sa situation dans le cadre de la constitution de l’Empire Européen préconisé par le P.C.N.. Comme le titre de la brochure l’indique, il considère que la Turquie doit être une province d’Europe comme devra l’être aussi l’Allemagne ou la Norvège. Cette position les oppose totalement aux conceptions « ethnistes » des droites radicales. Il est évident que le P.C.N. considère que la Turquie doit définitivement quitter le giron américain de l’OTAN et cesser d’être le porte-avions de l’impérialisme américano-sioniste au Moyen-Orient. Au-delà de la Turquie, c’est tout le bassin méditerranéen qui est appelé à intégrer le futur Empire Européen restaurant ainsi la Mare Nostrum de l’Empire Romain ».

DES LORS COMMENT JUSTIFIER LA PRESENCE MAINTENUE, ET INCONGRUE, DU PCN DANS CETTE ETUDE ?

Larbanois y répond par notre influence sur la mouvance nationale-révolutionnaire, précisant à propos de notre Parti que « son anti-américanisme très virulent, et l’influence indéniable qu’il a eu et a encore sur les mouvements appartenant à la mouvance des droites radicales, rendent son étude indispensable ».
Il ajoute que nous faisons preuve « d’un anti-américanisme « constitutif », « ontologique » » : « Le P.C.N. formule quant à lui son anti-américanisme en empruntant des argumentations léninistes et un ton communisant. Il affirme que les Etats-Unis devront être vaincus prioritairement en Europe car ce continent constitue la plus riche des « colonies » américaines. La perte de l’Europe constituerait pour les USA une catastrophe qui générerait leur recul général dans le monde. Dans leur optique de « lutte quadricontinentale », les gens du P.C.N. cherchent à établir des liens avec tous les Etats susceptibles de les aider à résister à l’Amérique (Libye, Iraq, Corée du Nord, Cuba, …). Leur but est de créer dans le monde « cent nouveaux Vietnams » qui mettront à genoux le géant américain (…) Nous avons effectivement mis en évidence dans notre historique les liens privilégiés que le P.C.N. a tissés avec l’Iraq ou la Libye ».
Résumé pertinent d’un des axes principaux de notre combat.

L’influence majeure du PCN sur la mouvance nationale-révolutionnaire européenne, cellée le plus souvent par les politologues belgo-français, n’a pas échappé, comme nous l’avons vu, à Jean-Marc Larbanois. « Au sein du mouvement national révolutionnaire, il semble désormais que ce soit le P.C.N. qui tienne le haut du pavé », analyse-t-il.

Avant de revenir, à propos de CONSCIENCE EUROPEENNE (n° 14) sur notre édition spéciale de 1984, sur les « ORIENTATIONS NATIONALE-REVOLUTIONNAIRES », le texte de Luc MICHEL, qui a servi de base à partir du début des années 90 à la restructuration et à la redéfinition de la mouvance nationale-révolutionnaire en Europe, notamment de « Nouvelle Résistance » en France.

Larbanois esquisse pertinemment la place fixée par le PCN aux nationaliste-révolutionnaires dans le « Front Noir-rouge-vert » dans lequel le PCN entend unifier les ennemis du Système : « S’inscrivant dans la démarche qui consiste à s’adresser aux milieux politiques susceptibles d’être sensibilisés aux questions relatives à une libération de l’Europe de la puissance occupante américaine et de son Système économique capitaliste, l’équipe de Conscience Européenne, après s’être adressée aux milieux d’extrême gauche, se tourne vers les milieux nationalistes révolutionnaires. Son intervention vise à démontrer aux nationalistes révolutionnaires que c’est bien à tort qu’ils s’identifient à l’extrême droite et que loin de faire partie de la même famille, ils sont en fait des adversaires idéologiques irréductibles ».

Larbanois, que l’on sent à l’étroit dans un carcan académique, a su, parfois, dépasser les contraintes du milieu universitaire, pilier du Système et devenu un des appareils idéologiques de l’Etat bourgeois, et rendre à Thiriart et au PCN ce qui leur revenait, notamment lorsqu’il évoque « le projet d’empire européen de Luc Michel et Jean Thiriart ».

Du premier théoricien du Communautarisme européen, il écrit ce qui suit : « Si certains philosophes, à la suite de Nietzsche, font de la philosophie au marteau, Thiriart lui, fait de la politique au marteau-piqueur. Rien ne résiste à cet iconoclaste provocateur doué d’un sens incomparable de la formule ».

Et il rappelle opportunément LE ROLE INITIATEUR DE NOTRE IDEOLOGIE ET DE NOTRE ORGANISATION DANS LA GENESE DE L’ANTI-AMERICANISME MODERNE. Le thème des « Etats-Unis nouvelle Carthage contre l’Europe nouvelle Rome : « Carthago Delenda est » » fut « développé initialement par Thiriart, ce slogan sera repris par l’essentiel des mouvements anti-américains ».
Il souligne aussi le sérieux de nos analyses : « Le P.C.N. est caractérisé à la fois par un ton très violent et virulent et des textes malgré tout doctrinalement bien charpentés et étayés par des références, des notes de bas de page et de la bibliographie ». Et précise que « les cadres du P.C.N. à la suite de Jean Thiriart » sont friands « de théories sociologiques et psycho-politiques ».

Larbanois insiste particulièrement sur le rôle joué par l’analyse économique dans notre idéologie et l’originalité de nos positions.

Ainsi à propos de « CONSCIENCE EUROPEENNE » (n° 19, août 1987), consacré à « La guerre économique Europe-USA », il écrit ce qui suit :
« Cet article est pour le moins original puisqu’il revisite toute l’histoire économique du 20e siècle selon une grille de lecture radicalement anti-américaine. Selon Luc Michel, la guerre 14-18 fut une guerre impérialiste menée pour le contrôle des marchés mondiaux. Le monde à l’époque était totalement conquis, colonisé, partagé, il n’y avait plus de nouvelle zone d’expansion pour les industries. Les Allemands devenus de grands rivaux économiques de l’Angleterre aspiraient alors à trouver des débouchés pour leur industrie.
L’Angleterre et la France ne l’entendaient pas de cette oreille.
Néanmoins, les véritables vainqueurs de la Première Guerre mondiale seront les Etats-Unis. Ils sortiront de la guerre en étant devenus la première puissance industrielle du monde. Jusque là l’histoire est connue. Luc MICHEL pousse toutefois l’analyse plus loin en mettant en évidence le fait que, désormais, l’Europe est ruinée et devient de facto la première débitrice des USA : ce n’est pas un hasard !

La crise de 1929 provoque de graves troubles économiques dont les conséquences sont notamment le repli protectionniste des grands acteurs économiques mondiaux. A nouveau, la thèse de Luc Michel tend à démontrer que les Américains savent tirer profit de toutes les situations. Une des raisons de leur entrée en guerre en 1941 est la relance de leur économie via notamment le secteur de l’armement ; une guerre économique qu’ils avaient déjà commencée après l’échec du New Deal.

A l’issue de la Deuxième Guerre mondiale, les Etats-Unis ont énormément renforcé leur puissance industrielle et sont devenus le « supermarché » du monde. Ils entendent conserver cette position privilégiée une fois la paix revenue. C’est pourquoi ils entreprennent d’évincer l’Angleterre du marché mondial, notamment en favorisant les mouvements de décolonisation dans les colonies anglaises et françaises. C’est aussi la raison pour laquelle ils voient d’un mauvais œil la construction d’un marché européen unifié capable de concurrencer sérieusement l’économie américaine. Les Etats-Unis vont donc utiliser leur hégémonie politique et militaire en Europe pour obtenir des privilèges et des contrats. La même politique est appliquée cyniquement au Tiers-Monde où les USA n’hésitent pas à financer des coups d’Etat afin d’installer au pouvoir leurs hommes de main. De plus, ils mettent sur pieds des techniques de protectionnisme afin de protéger leur propre marché. La conclusion est sans appel : « le libre-échangisme est une arnaque destinée à servir le plus fort ». La seule réponse à ce type de situation est l’instauration d’ « économies des grands espaces » fondées sur le concept de « nationalisme économique ». Cette solution pragmatique mettrait à l’abri les nations de la spéculation internationale et des marchandages mafieux américains, la liberté commerciale ne devant exister en définitive qu’à l’intérieur de ces grands espaces économiques. Dans ce Système, aucun libre-échangisme ne sera donc permis avec l’extérieur afin de mettre le territoire national hors de portée du Cheval de Troie que constituent les investisseurs étrangers. Un grand espace économique européen de Reykjavik à Vladivostok posséderait en outre les matières premières suffisantes et nécessaires à son autarcie. Le mot d’ordre est très simple : l’Europe doit redevenir la maîtresse de sa politique et donc aussi de son économie qui est un des outils de sa puissance ».

Dans un autre domaine, celui de LA REDECOUVERTE DES THESES « EURASISTES », qui sont l’une des caractéristiques du « national-communisme » moderne, Larbanois met aussi l’accent sur LE ROLE PRECURSEUR DU PCN.

Evoquant ainsi « CONSCIENCE EUROPEENNE » n° 9 (1984), « consacré à la critique du concept de nationalité dans les théories marxiste-léninistes », il précise que cette « étude est consacrée à un sujet, à l’époque, complètement ignoré dans l’espace francophone, c’est-à-dire : l’Eurasisme. Cette idéologie va faire son grand retour en Russie, après la chute de l’URSS, dans les milieux nationalistes, nationaux-communistes, nationaux bolcheviques et traditionalistes, ainsi que dans certains cercles militaires. Voilà qui préfigure de façon très nette les théories de Thiriart et des nationaux-bolcheviques ».

La thèse de Larbanois est aussi un éclairage supplémentaire sur la montée de l’anti-américanisme en Europe. « Or aujourd’hui, commente-t-il, l’Amérique, son modèle culturel, social, politique, et son rôle dans le monde sont l’objet d’un vaste débat polémique qui n’a fait que s’accroître depuis de la fin de la guerre froide, et la chute de l’Union soviétique. L’arrivée au pouvoir de l’actuel président, Georges W. Bush, a eu pour effet d’étendre et de radicaliser ce débat. Jusque là, toutefois, la discussion concernait les milieux les plus engagés (c’est-à-dire l’extrême gauche, l’extrême droite et les milieux anarchistes) ou, spécialisés (spécialistes en relations internationales, politiciens, historiens, économistes, etc.) ».

En résumé, un travail intelligent et parfois incisif (*), que l’on sent bridé par les contraintes du conformisme universitaire franco-belge. A commencer par un titre de thèse qui déforce son contenu. On sent Larbanois mal à l’aise dans le sujet réduit qui lui a été visiblement imposé et qui ne répond plus que de loin à son optique de départ qui entendait, comme jadis Christophe Bourseiller dans ses « ENNEMIS DU SYSTEME », analyser simultanément les « gauches radicales » et les « droites radicales ». Ce qui aurait permis d’offrir au PCN sa véritable place : le Front unitaire des ennemis du Système.

La longue interview de Luc MICHEL et les textes fondateurs du PCN qui figurent en annexes – Le PCN occupant la place majeure dans cette thèse – sont cependant là pour rappeler la position véritable des Communautaristes européens.

Un dernier regret concernant le fait que l’analyse de nos positions se développe exclusivement à partir de deux opérations de presse, celle de CONSCIENCE EUROPEENNE (1983-88) dans la stratégie du « Front noir-rouge-vert », et celle de NATION-EUROPE (1993-98) développée à destination des milieux nationaux-révolutionnaires. Opérations qui ne représentent pas toute l’action du PCN, mais bien uniquement deux offensives politiques momentanées. Avec toutes les limites qu’elles imposaient.
____________________________________________

(*) L’intérêt du travail de Larbanois repose sur sa méthode. Il fait en effet beaucoup de citations dans le mémoire (on voit qu’il a tout lu et qu’il possède son sujet), ce qui est une nouveauté et une réaction par rapport aux travaux « académiques » et/ou « antifascistes » sur ce genre de sujets, qui se contentent généralement de deux ou trois citations courtes, sorties du contexte, et qui permettent toutes les dérives interprétatives habituelles. Notons à ce sujet la remarque incisive de Larbanois sur la piètre qualité des ouvrages « antifascistes » – ceux des antifascistes de salon aux motivations alimentaires – et leur habituel délire fantasmé : « Nous profiterons de cette parenthèse pour mettre en garde les milieux académiques et les futurs étudiants qui se consacreraient à une étude sur le sujet, contre la piètre qualité de ces ouvrages. Au début de notre étude, loin de nous aider, la plupart d’entre eux nous ont plutôt fait perdre notre temps ou engagé sur des fausses pistes ».
Précisons encore qu’il s’agit d’une étude faite par un universitaire qui n’a aucun passé ni lien avec les milieux sur lesquels il s’est penché. Et qui n’est ni membre du PCN ni proche de sa mouvance.

* NOTE 1
The Belgian (Flemish) daily newspaper De Morgen already wrote in December 2022: “Michel will now act as a geopolitical entrepreneur to enlarge the Russian sphere of influence in Africa: “a group of independent entrepreneurs, we have invented the concept of hybrid warfare. We work with Russia, but we don’t pay for security services. A hybrid war feeds on different ways: military, diplomatic and communication. I do the latter. “And then there is the Belgian, the activist Luc Michel, with whom it all started. He, together with the ideologue Jean Thiriart (…) with the organization of the elections, shaped the instruments of the reconquest of the Soviet empire and created a space, from Lisbon to Vladivostok”. Michel is delighted with the results of the last referendums in the People’s Republics of Luhansk, Donetsk,

* NOTE 2
Lire ausi :
Esquisse de la guerre hybride. L’action de Luc Michel en tant qu’ ‘entrepreneur géopolitique indépendant’
https://www.palestine-solidarite.fr/esquisse-de-la-guerre-hybride-ix-mon-action-en-tant-qu-entrepreneur-independant/

* NOTE 3
Une précision. Les politologues sérieux, pas les flics de la pensée politique des Universités franco-belges (qui sont souvent des flics tout court, correspondant des polices politiques), classent dans une même catégorie, qu’ils nomment le « National-communisme », des mouvements politiques comme le KPRF russe, le régime de LUKASHENKO au Belarus ou encore le SPS de MILOSEVIC ou la JUL, la « Gauche Unie Yougoslave » de Mirjana MARKOVIC. ET bien entendu notre PCN, qui idéologiquement et politiquement, les a tous précédé de presque une décennie. Lorsque nous étions représentés au Parlement Wallon, en Belgique, dans les Années 1996-98, la questure nous avait étiquetés «national-communistes» (le FN y était étiqueté « extrême-droite »). En 1996-98, nous avions des élus, dont un député, au Parlement Wallon, au Parlement de la Communauté française de Belgique et de 1996 au 1999 au Conseil provincial du Hainaut.


# ЕВРАЗИЙСКИЙ СОВЕТ ЗА ДЕМОКРАТИЮ И ВЫБОРЫ (ЕСДВ)/
EURASIAN OBSERVATORY FOR DEMOCRACY & ELECTIONS (EODE):
http://www.eode.org/
https://www.facebook.com/groups/EODE.Eurasia.Africa/

PAS DE COMENTAIRES